
UN MÉGAPHONE POUR LA SANTÉ PUBLIQUE : Quand la solidarité doit se faire entendre
Comme je m’y étais engagée, je reviens maintenant sur le Conseil municipal de Toulouse du 26 novembre dernier et sur l’incident dont une certaine presse

Comme je m’y étais engagée, je reviens maintenant sur le Conseil municipal de Toulouse du 26 novembre dernier et sur l’incident dont une certaine presse

Compte rendu de mes interventions lors du Conseil municipal du 26 décembre 2025 au Capitole de Toulouse, en cours de construction.
Un conseil très mouvementé à cause de la fâcheuse habitude du maire de censurer mes propos. Il a finalement dû me rendre la parole, mais cela a été une lutte acharnée.

Dénonciation des violences validistes et sexistes du maire de Toulouse à l’égard d’Odile Maurin, élue d’opposition handicapée, à l’occasion du Conseil municipal de Toulouse du 26 septembre 2005, qui explique pourquoi elle a dû interrompre le Conseil. Pour dénoncer une violation démocratique aux multiples dimensions, avec une violation fondamentale du droit d’expression démocratique, et une discrimination validiste institutionnalisée, sur laquelle il est intéressant de faire un parallèle historique avec la défense des droits des femmes.

Ce 12 septembre 2025, après près de trois ans de travail, le collectif Démocratiser la Politique publie son premier rapport ! Vous pouvez le télécharger

Ceux qui me suivent savent que je traverse une période difficile depuis un an et demi à cause d’un burn-out autistique lié principalement aux conditions

Pourquoi suis-je en burnout autistique, en arrêt maladie pour 6 mois, et pourquoi je ne serai pas candidate en 2026, quelle responsabilité de Jean-Luc Moudenc et son équipe qui m’ont refusé la compensation de mes handicaps pour exercer mon mandat à égalité avec les élus valides, et quel a été l’engagement de la gauche Toulousaine sur cette question politique d’égalité ?

Mon compte rendu en cours de construction du Conseil municipal du 28 novembre 2024 au Capitole de Toulouse, avec mes interventions en vidéo, en texte, ainsi que les réactions des autres élus, oppositions et majorités.

C’était la première fois que je siégeais comme élue indépendante de tout groupe politique après mon départ du groupe AMC, situation pour laquelle vous trouverez ci-dessous en lien du liminaire mon communiqué.
La règle que j’avais accepté en siégeant avec le groupe Archipel Citoyen puis avec le groupe AMC (quand Archipel nous a viré), c’était de ne pas dépasser 5 interventions par conseil pour chaque membre du groupe. C’était extrêmement frustrant pour moi qui ait l’habitude d’étudier beaucoup plus de délibérations, dont un certain nombre auraient, de mon point de vue, justifié d’un débat en conseil municipal. Mais c’est le jeu du collectif d’accepter des compromis.
Maintenant que je siège de manière indépendante, en représentation du mouvement politique PEPS (Pour une Ecologie Populaire et Sociale), https://confpeps.org/category/le-reseau-peps/groupes-locaux-2/peps-toulouse/ j’ai choisi de m’exprimer plus librement, de ne pas limiter mon expression et d’utiliser un ton qui me correspond mieux.

Je me porte candidate afin de garantir que la lutte pour la désinstitutionnalisation et le droit à la vie autonome soit bien inscrite dans la lutte contre fascisme et s’exprime à l’Assemblée nationale

Je publie ma réaction au communiqué de la droite toulousaine en date du 17 avril, que vous trouverez plus bas.
En résumé, j’ai été arrêtée du 11 mars au 5 avril car je me sentais incapable de participer aux 6 commissions municipales et métropolitaines et aux conseils d’une part municipal et d’autre part métropolitain qui se tenaient fin mars et début avril. En fait, la charge de préparation que cela implique n’était plus possible pour moi. Vous trouverez ci-dessous ma vidéo du 15 mars qui explique pourquoi et dans quel contexte je me suis arrêtée.
Puis, ma deuxième vidéo du 14 avril dans laquelle j’explique pourquoi je n’ai pas disparu de la circulation et pourquoi j’ai continué à avoir un certain nombre d’activités. En résumé, je rappelle que je suis autiste, que le burnout peut prendre différentes formes quelles que soient les spécificités des personnes, que mon médecin a autorisé les sorties, et surtout il était important pour moi moralement de ne pas cesser toute activité ce qui aurait été encore pire. Le fait d’avoir pris la décision de ne pas participer aux travaux des commissions et conseils m’a apporté un soulagement immédiat.
Le 17 avril, le groupe Aimer Toulouse a produit un communiqué prétendant s’inquiéter de ma santé et renvoyant la responsabilité de mon burn-out à un manque supposé de soutien des membres de mon groupe politique, c’est pourquoi j’ai voulu répondre.